Le pire est passé
Ouf, la ferme d'Obala vient de vivre ses pires moments. On a pensé que tout était très bien parti : 30 sujets perdus en 4 semaines d'élevage, c'était une belle performance. Voila que le lundi 8 mars les animaux ont contracté la toux. Nous avons perdu 70 sujets en 4 jours. C'est seulement jeudi que notre cher ingénieur a trouvé une solution. A ce jour tout est rentré dans l'ordre, il nous reste 700 poulets à vendre. Ils sont prêts à être digérés à la fin de ce mois.
La bande est homogène, tous les poulets ont pratiquement le même poids, pas de pattes cassés....
La phase la plus délicate va commencer : la commercialisation. Nous souhaitons vendre aux grossistes.
Au Cameroun, les réseaux de commercialisation ne sont pas aussi développés qu'en France. Il y n a pas d'abattoirs qui viennent chercher les poulets à la ferme, c'est au fermier d'aller chercher les acheteurs. ces derniers vont revendre les poulets vivants sur les marchés.
La bande est homogène, tous les poulets ont pratiquement le même poids, pas de pattes cassés....
La phase la plus délicate va commencer : la commercialisation. Nous souhaitons vendre aux grossistes.
Au Cameroun, les réseaux de commercialisation ne sont pas aussi développés qu'en France. Il y n a pas d'abattoirs qui viennent chercher les poulets à la ferme, c'est au fermier d'aller chercher les acheteurs. ces derniers vont revendre les poulets vivants sur les marchés.